Dans l'Yonne
-
Plante commune des milieux humides.
- Vivace
- Période de floraison : Juin-Juillet-Août
- Habitat : Bord des eaux, étangs, marais.
- Taille : 80 à 150 cm.
Origine supposée des noms
Leur signification n'est souvent que symbolique et peut ne pas aider à la détermination
- générique : du grec γλυκός (glycos), doux : allusion à la manne de Pologne, une autre glycérie (Glyceria fluitans) dont les grains servent à préparer du gruau et une soupe au lait.
Mais les grains de Glyceria maxima dont l'un, ci-dessous, a été vu au microscope, sont très riches d'un glucoside cyanogénétique qui pourrait peut-être être toxique.

- spécifique : sans doute en raison de la grande taille de ses panicules.
|
Détails caractéristiques
-

- Ses feuilles sont rudes, larges de 10 à 20 mm et longues de 30 à 50 cm, se terminent en pointe. Elles ont une ligule courte, tronquée.
- Elles peuvent être parasitée par Ustilago filiformis, un de ces champignons à baside provoquant charbons et caries, ce qui augmenterait encore leur toxicité connue de longue date pour les bovins en raison du glucoside cyanogénétique précité, tout comme Phalaris arundinacea.
- Son inflorescence est une panicule d’épillets de 10 à 40 cm de long et très rameuse, étalée en tous sens.
- Ses épillets sont pédicellés, longs de 4 à 8 mm et de 5 à 8 fleurs longues de 3 à 4 mm.

|
 Ligule
|
Nombre d'espèces icaunaises dans le genre
|