Dans l'Yonne
- Assez rare.
- Mode de vie : annuel.
- Période de floraison approximative :
Juin-Juillet-Août-Septembre.
- Habitat : Bord de canal.
- Tailles :
 60 à 100 cm  ± 2,5 cm de long
Origine supposée des noms
- générique : du latin impatiens, impatiente, car à maturité ses fruits semblent munis d'un ressort qui projette immédiatement leurs graines au moindre frôlement.
- spécifique : bien que dite "du Cap", sont origine est l'Amérique du Nord d'où elle a été introduite en France à la fin du XIXe siècle.
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Détails caractéristiques
- Son calice dont 1 des sépales, pétaloïde et élargi, se termine en éperon nectarifère pend curieusement au bout d'un pédicelle, né à l'aisselle d'une feuille, montrant les 2 autres sépales plus petits et plus clairs.
- Les pétales tachetés de ses fleurs sont au nombre de 5 mais semblent n'être que 3, deux pétales fusionnés formant la lèvre inférieure, divisée en deux lobes et servant de plateforme d'atterrissage aux insectes visiteurs. Il y a cinq étamines. Le pistil est composé de cinq carpelles unis.
- Ces fleurs possèdant des éperons nectarifères, elles attirent plusieurs espèces d'insectes, pollinisateurs ou voleurs de nectar.
- A l'Automne, ses fleurs deviennent cléistogame (vertes, elles ne s'ouvrent plus à maturité, leurs sépales et leurs anthères sont de taille réduite et elles n'ont ni nectaires ni pétales). Selon certains botanistes, Impatiens capensis pourrait même se régénérer à partir d'un fragment de tige.
- Les fruits sont des capsules allongées nombreuses éjectant donc un grand nombre de graines, grâce à un phénomène nommé ballochorie, qui pourront germer sur de grandes distances à condition d'être emportées par les eaux.
Nicolaas Meerburgh (1734-1814)
(Promontorium Bonae Spei = Cap de Bonne Espérance)
Illustration de Nicolaas Meerburgh (1734-1814)
Nombre d'espèces icaunaises dans le genre
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2005 à 2025 - 
