Ses inflorescences en panicule lâche ont des épillets multiflores à lemmes velues présentant une arête.
Divers
Parmi toutes les stratégies de défense possibles, les végétaux privilégient les poisons. Mais au début du XXème siècle d'autres interactions entre plantes et agresseurs sont mises en évidence. En 1902, H.M. Ward (1854-1906) identifie pour la première fois une réaction de défense active chez un Bromus : les tissus de cette graminée se nécrosent au contact de ses parasites.