Pour en savoir plus | |
![]() |
Giroflé, girofla - Rosa Holt (1935)
Photo © Jean-Pierre AUDARD
ERYSIMUM cheiri (L.) Crantz Giroflée des murailles, violier jaune |
Dans l'Yonne
Origine supposée des noms
Il est amusant de découvrir que ce nom linnéen ait été choisi par Antoine de La Salle (1754–1829), le traducteur du Sylva Sylvarum de Francis Bacon (1561-1626), qui écrit : « [...] si je m’aperçois qu’un nom grec puisse perfectionner la culture des giroflées jaunes, ou contribuer au bonheur, verbal et verbeux des plus doctes et des plus hérissés d’entre mes concitoyens, j’appellerai cette humble fleur cheirantus cheiri, à l’exemple de Linnéus (grand homme, sans doute, mais un peu savant en us, où, si l’on veut, en os) ; qui a choisi, pour classer les plantes, des caractères distinctifs, qu’on ne peut reconoître que la loupe à la main ; et pour les désigner, des noms qu’il est impossible de retenir, ce qui nous paroît très incommode, et par conséquent très savant. »
Détails caractéristiques
Nombre d'espèces icaunaises dans le genre
|