Cresson de fontaine, cresson officinal, santé du corps Nasturtium officinale W.T.Aiton, 1812 Super-tribu des Camelinodae - Sous-famille des Brassicoideae Famille des Brassicaceae (Cruciferae) Ordre des Brassicales Malvids / Rosids / Pentapetalae / Eudicotyledons
générique : du latin nasus, nez, et tortus, tordu : allusion à la saveur piquante du cresson qui fait froncer le nez. Ou tout simplement, nom déjà employé par Pline l'Ancien.
spécifique : médicinal.
Synonymes récents
Nasturtium officinale R.Br., 1812
Sisymbrium nasturtium-aquaticum L., 1753
Détails caractéristiques
La grande variabilité de sa taille, de ses ramifications et de la forme de ses feuilles.
Ses feuilles sont persistantes et toutes caulinaires, à foliole terminale plus grande que les autres, à marges entières ou sinuées et même dentées.
Les anthères jaunes de ses fleurs dont les grains de pollen sont petits.
Ses siliques arquées contiennent des graines ovoïdes sur 2 rangs.
Malgré sa richesse en vitamine C, en fer, en dérivés soufrés, etc..., il faut être prudent dans la consommation du cresson sauvage car selon l'endroit de sa cueillette il pourrait être porteur de la grande douve du foie (Fasciola hepatica).
Ne pas confondre bien sûr Nasturtium officinale avec Lepidium sativum L., 1753, le cresson alénois ou passerage cultivée, facile à cultiver et pouvant s'échapper des cultures.